j'ai peur de m'enfoncer avec lui, à l'aide.
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j'ai peur de m'enfoncer avec lui, à l'aide.
Je voudrais commencer par un long soupir, de découragements, de fatigue, de lassitude, je suis à bout, épuisée.
Si des personnes sur ce site pouvaient "nous" venir en aide, je sais que quelque chose ne va pas avec le père de mes enfants.
Voilà mon histoire, la sienne, c'est long mais merci d'avance pour votre aide.
Il y a 20 ans je rencontrais celui qui est devenu le père de mes trois enfants.
J'avais 17 ans, lui 19. Au début ce n'était pas simple, il sortait beaucoup, était immature, j'ai été trompée, mais j'ai toujours mis ça sur le compte de la jeunesse et je lui en veux pas pour ces débuts difficiles, je crois bien qu'une femme ne peut pas attendre de la maturité d'un homme aussi jeune. Il faut savoir qu'il n'a pas eu une enfance particulièrement heureuse, souvent seul, sans père, il s'est éduqué seul, il a malheureusement fait une mauvaise rencontre enfant et a subit des violences sexuelles grave. (tout comme moi d'ailleurs mais c'est un autre sujet).
Je suis fière de l'homme qu'il est , du père qu'il est, il a un emploi stable depuis presque 15 ans, je trouve que vu son passé, il s'en ai bien sorti et qu'il n'a rien à envier à personne.
Lui a beaucoup de regrets, il aurait voulu faire de grandes choses; être sportif de haut niveau, c'était à sa portée mais la vie en a décidé autrement. C'est un homme plein d'ambition, trop, ça l'obsède de réussir, et il s'en veut de ne pas avoir une vie avec plus de moyen financier, ce qui lui manque le plus : la reconnaissance, ce statut d'être "quelqu'un", il se dévalorise à un tel point parce qu'il n'y est pas parvenu. Il lui est si difficile d'accepter qu'il est monsieur tout le monde.
Les premières années, à causes de toutes ses frasques, je le menaçais souvent de le quitter, c'était parfois d'une telle violence entre nous, il se mettait alors à pleurer, voulait prendre des médicaments, voulait se couper les veines, puis voyant que je ne cédais pas il devenait violent et cassait tout ,(il ne m'a jamais vraiment fait mal, en 20 ans il m'a poussé une fois et levé la main trois fois) changeait de visage, il n'était plus lui, il me faisait peur. J'avais souvent l'impression qu'il y avait "deux lui" . Ce comportement impulsif s'est estompé avec les années.
Il y 11 ans, il a commencé à avoir de très fortes insomnies, ne fermant pas l'oeil de la nuit. Il regardait la télé, jusqu'à cette période il consommait du cannabis, il a cessé depuis. Il essayait de monter des projets, mais qui n'aboutissait pas. Ce que je ne savais pas à ce moment là c'est quel désordre intérieur il vivait, je ne voyais rien de son mal être.
Notre deuxième enfant est né, il était heureux, ça allait mieux y compris durant ma grossesse, puis après la naissance il s'est remis dans sa bulle, restant seul dans le salon toute la nuit, ne dormant plus dans notre chambre, n'ayant plus aucun contact physique avec moi. Cela à duré 8 long mois, durant lesquels j'ai posé des questions, mais je n'ai eu qu'une réponse "ce que tu me demande je ne peux pas te le donner". Puis petit à petit il est "revenu", c'était de nouveau lui avec tout de même des passages à vides, des crises qui duraient moins longtemps.
Il y a 5 ans, il a pris un cocktails de médicaments et d'alcool. 48 h 00 cauchemardesque. Il s'est mis en danger, à écrit son testament, il était comme fou, méconnaissable, j'ai du appeler les pompiers, la police est venue. Transporté dans un centre hospitalier, il a été sanglé, a défait les liens qui le maintenaient et s'est sauvé de l'hôpital. Là j'ai vécu les pires heures de ma vie. Il a ingéré de l'eau de javel, a tenté de se jeter du balcon, de se tuer en voiture, j'ignore comment j'ai retenu ses presque 2 mètres et ses quasi 100 kilos de l'époque. Il a été maitrisé de force et sanglé, je l'ai vu partir ainsi en ambulance, hurlant. Sa maman (nous ne sommes pas marié et je n'ai pas voulu signer de peur qu'il m'en veuille) a signé une hospitalisation de force car nous n'arrivions plus à le gérer, il était dangereux pour lui et autrui. J'ai vu durant ces 48h00 un autre homme, ce n'était plus lui, un regard que je ne connaissais pas, terrifiant.
Quelle tristesse, il est ressorti il me semble au bout de 3 jours, le psychiatre que j'ai rencontré m'a dit qu'il n'avait rien à faire en hôpital psy, il avait retrouvé son était normal. Avant de partir pour l'hôpital il me haîssait, m' hurlant des insanités quand il m'a revu là-bas, il était si heureux. De l'entretien que j'ai eu avec le psy, il est ressorti que j'avais eu un rôle à jouer dans son état ?? j'ai compris qu'il avait parlé de notre relation, des relations qu'il avait eu enfant avec sa mère, du fait qu'il se sous estimait. Il est vrai que je m'étais beaucoup éloignée de lui, ne supportant plus son mutisme, j'étais devenue un meuble, alors je voulais qu'il parte. Il faut dire que jusqu'à ce jour il est inconcevable pour lui que nous ne vivions plus ensemble.
Il a des amis, il est généreux, empathique, à l'écoute des autres, tellement de qualités. MAIS personne ne sait vraiment qu'il a ce côté sombre, je suis la seule à savoir qui il est vraiment.
Je rajoute qu'il n'est pas violent avec moi, mais je sais qu'il pourrait un jour l'être si les choses devenaient trop difficiles à vivre pour lui.
Nous avons eu un bébé il y a 7 mois, c'était encore le plus heureux des papas, il adore ses enfants. 3 mois après la naissance de notre bébé, de nouveau des insomnies, il ne dort plus avec moi, s'isole, il reste seul dans le salon et il réfléchi, encore est toujours. Je n'arrive pas à obtenir de grandes confidence, si ce n'est qu'il se fait du soucis pour les enfants, pour leurs avenir, qu'il faut qu'il leurs laisse quelque choses. Je lui ai parlé de son état, il me dit qu'il est comme ça, que je le connais maintenant avec les années, qu'il s'enfonce dans sa solitude, son mutisme et qu'après ça ira mieux. Il dit que je dois le prendre comme il est, comme je l'ai connu.
Je suis si fatiguée, toute mon énergie y passe à essayer de comprendre pourquoi, et inévitablement à un moment je lui en veux, nous n'avons pas de vie de couple, c'est par intermittence et je dois finalement me rendre à l'évidence : je n'ai jamais été vraiment heureuse. C'est lui qui donne le ton : quand il va bien tout va bien, mais quand il se renferme et cogite je dois courber l'échine et attendre. Là ça fait donc 5 mois que ça dure. Etrangement je remarque que tout les ans vers octobre novembre il est mal, parfois plus ou moins intensément selon les années.
Je vis mal le fait qu'en dehors de moi personne ne sait comment il fonctionne vraiment, alors je le prends pour moi, comme si il voulait me faire payer quelque chose. Pourquoi rester si c'est pour être ainsi ? Hors il n'imagine pas me quitter. Pourquoi toujours est-il à se dévaloriser ? Vouloir être quelqu'un d'autre ? il ne comprends pas ce que je lui dis ou du moins il fait semblant ? A t'il une peur de l'abandon ? Est-il borderline ? bipolaire ?
La vie a fait de moi une personne très forte, trop surement, je suis sa béquille, il sait que je suis un roc. Mais quelque chose m'attriste. En février dernier suite à des soucis familiaux, j'ai comme décompensé, pour la première fois de ma vie. Enceinte de presque 7 mois, j'ai fais des crises d'angoisses terrible, avec suffocation et peur imminente de mourrir. Je lui ai demandé de me faire interner, j'avais l'impression de venir folle.
J'ai cru que ma dernière heure était arrivé, rien que d'y penser à cette sensation d'étouffement je vacille. J'ai été jusqu'à vouloir m'enlever mon bébé tant désiré du ventre. Je me revois à faire les 400 pas dans le salon, à suffoquer, pleurer, hurler en silence dans le noir, lui dormant paisiblement. J'ai tenté de gérer seule. Et puis à un moment ou je suis remontée dans la chambre et qu'il a vu qu'étouffais il m'a dit " bon tu vas te calmer là !!!!!!! sinon je me casse !!!!" c'est la seule fois ou il m'a dit qu"il s'en irait, la seule fois ou j'ai eu besoin de lui, il n'a pas su m'aider.
Il a eu des signes alarmant au niveau digestif, il a mis des années à consulter, je pensais que c'était ce qui le travaillait ces derniers temps, nous sommes aller consulter et tout va bien , mais son mutisme est toujours là. Au boulot ce n'est pas trop ça , il voudrait faire autre chose, il commence une formation l'année prochaine, (il était en attente de cette formation) et maintenant qu'il sait que ça va être ok, son mutisme est toujours là.
Je crois que je veux sauver ma peau là, il en va de ma survie, mes enfants comptent sur moi. Je l'aime, et si il voulait bien me parler, consulter faire quelque chose de concret, il aurait toute mon aide. MAIS NON au lieu de ça il fait comme si de rien n'était !!!!!!! je n'en peux plus, je meurs à petit feu, je n'ai pas de famille sur qui me reposer, je ne parle à personne des mes problèmes, c'est trop difficile de vivre avec lui. Il m'épuise littéralement, et si moi je faisait quelque chose de fou parce que je n'en peux plus ? Si je vidais cette boite de lexomil ? j'y ai pensé oui, mais je ne le ferais pas, mes enfants ont besoin de moi.
J'appréhende, car il arrive à faire comme si devant les autres, il masque les choses, mais moi je sais qu'un jour ou l'autre il va exploser, car moi même n'étant pas dans sa situation, je suis comme une cocotte minute, aussi je ne vois pas combien de temps encore sa crise va durer et si il va réussir à remonter la pente.
C'en est trop, ce n'est pas la solution mais je ne lui parle plus depuis 5 jours, il a eu une opportunité de se rendre à l'étranger une dizaine de jours, et bien je suis pressée qu'il parte, je respirerais un peu :-/
Si des personnes sur ce site pouvaient "nous" venir en aide, je sais que quelque chose ne va pas avec le père de mes enfants.
Voilà mon histoire, la sienne, c'est long mais merci d'avance pour votre aide.
Il y a 20 ans je rencontrais celui qui est devenu le père de mes trois enfants.
J'avais 17 ans, lui 19. Au début ce n'était pas simple, il sortait beaucoup, était immature, j'ai été trompée, mais j'ai toujours mis ça sur le compte de la jeunesse et je lui en veux pas pour ces débuts difficiles, je crois bien qu'une femme ne peut pas attendre de la maturité d'un homme aussi jeune. Il faut savoir qu'il n'a pas eu une enfance particulièrement heureuse, souvent seul, sans père, il s'est éduqué seul, il a malheureusement fait une mauvaise rencontre enfant et a subit des violences sexuelles grave. (tout comme moi d'ailleurs mais c'est un autre sujet).
Je suis fière de l'homme qu'il est , du père qu'il est, il a un emploi stable depuis presque 15 ans, je trouve que vu son passé, il s'en ai bien sorti et qu'il n'a rien à envier à personne.
Lui a beaucoup de regrets, il aurait voulu faire de grandes choses; être sportif de haut niveau, c'était à sa portée mais la vie en a décidé autrement. C'est un homme plein d'ambition, trop, ça l'obsède de réussir, et il s'en veut de ne pas avoir une vie avec plus de moyen financier, ce qui lui manque le plus : la reconnaissance, ce statut d'être "quelqu'un", il se dévalorise à un tel point parce qu'il n'y est pas parvenu. Il lui est si difficile d'accepter qu'il est monsieur tout le monde.
Les premières années, à causes de toutes ses frasques, je le menaçais souvent de le quitter, c'était parfois d'une telle violence entre nous, il se mettait alors à pleurer, voulait prendre des médicaments, voulait se couper les veines, puis voyant que je ne cédais pas il devenait violent et cassait tout ,(il ne m'a jamais vraiment fait mal, en 20 ans il m'a poussé une fois et levé la main trois fois) changeait de visage, il n'était plus lui, il me faisait peur. J'avais souvent l'impression qu'il y avait "deux lui" . Ce comportement impulsif s'est estompé avec les années.
Il y 11 ans, il a commencé à avoir de très fortes insomnies, ne fermant pas l'oeil de la nuit. Il regardait la télé, jusqu'à cette période il consommait du cannabis, il a cessé depuis. Il essayait de monter des projets, mais qui n'aboutissait pas. Ce que je ne savais pas à ce moment là c'est quel désordre intérieur il vivait, je ne voyais rien de son mal être.
Notre deuxième enfant est né, il était heureux, ça allait mieux y compris durant ma grossesse, puis après la naissance il s'est remis dans sa bulle, restant seul dans le salon toute la nuit, ne dormant plus dans notre chambre, n'ayant plus aucun contact physique avec moi. Cela à duré 8 long mois, durant lesquels j'ai posé des questions, mais je n'ai eu qu'une réponse "ce que tu me demande je ne peux pas te le donner". Puis petit à petit il est "revenu", c'était de nouveau lui avec tout de même des passages à vides, des crises qui duraient moins longtemps.
Il y a 5 ans, il a pris un cocktails de médicaments et d'alcool. 48 h 00 cauchemardesque. Il s'est mis en danger, à écrit son testament, il était comme fou, méconnaissable, j'ai du appeler les pompiers, la police est venue. Transporté dans un centre hospitalier, il a été sanglé, a défait les liens qui le maintenaient et s'est sauvé de l'hôpital. Là j'ai vécu les pires heures de ma vie. Il a ingéré de l'eau de javel, a tenté de se jeter du balcon, de se tuer en voiture, j'ignore comment j'ai retenu ses presque 2 mètres et ses quasi 100 kilos de l'époque. Il a été maitrisé de force et sanglé, je l'ai vu partir ainsi en ambulance, hurlant. Sa maman (nous ne sommes pas marié et je n'ai pas voulu signer de peur qu'il m'en veuille) a signé une hospitalisation de force car nous n'arrivions plus à le gérer, il était dangereux pour lui et autrui. J'ai vu durant ces 48h00 un autre homme, ce n'était plus lui, un regard que je ne connaissais pas, terrifiant.
Quelle tristesse, il est ressorti il me semble au bout de 3 jours, le psychiatre que j'ai rencontré m'a dit qu'il n'avait rien à faire en hôpital psy, il avait retrouvé son était normal. Avant de partir pour l'hôpital il me haîssait, m' hurlant des insanités quand il m'a revu là-bas, il était si heureux. De l'entretien que j'ai eu avec le psy, il est ressorti que j'avais eu un rôle à jouer dans son état ?? j'ai compris qu'il avait parlé de notre relation, des relations qu'il avait eu enfant avec sa mère, du fait qu'il se sous estimait. Il est vrai que je m'étais beaucoup éloignée de lui, ne supportant plus son mutisme, j'étais devenue un meuble, alors je voulais qu'il parte. Il faut dire que jusqu'à ce jour il est inconcevable pour lui que nous ne vivions plus ensemble.
Il a des amis, il est généreux, empathique, à l'écoute des autres, tellement de qualités. MAIS personne ne sait vraiment qu'il a ce côté sombre, je suis la seule à savoir qui il est vraiment.
Je rajoute qu'il n'est pas violent avec moi, mais je sais qu'il pourrait un jour l'être si les choses devenaient trop difficiles à vivre pour lui.
Nous avons eu un bébé il y a 7 mois, c'était encore le plus heureux des papas, il adore ses enfants. 3 mois après la naissance de notre bébé, de nouveau des insomnies, il ne dort plus avec moi, s'isole, il reste seul dans le salon et il réfléchi, encore est toujours. Je n'arrive pas à obtenir de grandes confidence, si ce n'est qu'il se fait du soucis pour les enfants, pour leurs avenir, qu'il faut qu'il leurs laisse quelque choses. Je lui ai parlé de son état, il me dit qu'il est comme ça, que je le connais maintenant avec les années, qu'il s'enfonce dans sa solitude, son mutisme et qu'après ça ira mieux. Il dit que je dois le prendre comme il est, comme je l'ai connu.
Je suis si fatiguée, toute mon énergie y passe à essayer de comprendre pourquoi, et inévitablement à un moment je lui en veux, nous n'avons pas de vie de couple, c'est par intermittence et je dois finalement me rendre à l'évidence : je n'ai jamais été vraiment heureuse. C'est lui qui donne le ton : quand il va bien tout va bien, mais quand il se renferme et cogite je dois courber l'échine et attendre. Là ça fait donc 5 mois que ça dure. Etrangement je remarque que tout les ans vers octobre novembre il est mal, parfois plus ou moins intensément selon les années.
Je vis mal le fait qu'en dehors de moi personne ne sait comment il fonctionne vraiment, alors je le prends pour moi, comme si il voulait me faire payer quelque chose. Pourquoi rester si c'est pour être ainsi ? Hors il n'imagine pas me quitter. Pourquoi toujours est-il à se dévaloriser ? Vouloir être quelqu'un d'autre ? il ne comprends pas ce que je lui dis ou du moins il fait semblant ? A t'il une peur de l'abandon ? Est-il borderline ? bipolaire ?
La vie a fait de moi une personne très forte, trop surement, je suis sa béquille, il sait que je suis un roc. Mais quelque chose m'attriste. En février dernier suite à des soucis familiaux, j'ai comme décompensé, pour la première fois de ma vie. Enceinte de presque 7 mois, j'ai fais des crises d'angoisses terrible, avec suffocation et peur imminente de mourrir. Je lui ai demandé de me faire interner, j'avais l'impression de venir folle.
J'ai cru que ma dernière heure était arrivé, rien que d'y penser à cette sensation d'étouffement je vacille. J'ai été jusqu'à vouloir m'enlever mon bébé tant désiré du ventre. Je me revois à faire les 400 pas dans le salon, à suffoquer, pleurer, hurler en silence dans le noir, lui dormant paisiblement. J'ai tenté de gérer seule. Et puis à un moment ou je suis remontée dans la chambre et qu'il a vu qu'étouffais il m'a dit " bon tu vas te calmer là !!!!!!! sinon je me casse !!!!" c'est la seule fois ou il m'a dit qu"il s'en irait, la seule fois ou j'ai eu besoin de lui, il n'a pas su m'aider.
Il a eu des signes alarmant au niveau digestif, il a mis des années à consulter, je pensais que c'était ce qui le travaillait ces derniers temps, nous sommes aller consulter et tout va bien , mais son mutisme est toujours là. Au boulot ce n'est pas trop ça , il voudrait faire autre chose, il commence une formation l'année prochaine, (il était en attente de cette formation) et maintenant qu'il sait que ça va être ok, son mutisme est toujours là.
Je crois que je veux sauver ma peau là, il en va de ma survie, mes enfants comptent sur moi. Je l'aime, et si il voulait bien me parler, consulter faire quelque chose de concret, il aurait toute mon aide. MAIS NON au lieu de ça il fait comme si de rien n'était !!!!!!! je n'en peux plus, je meurs à petit feu, je n'ai pas de famille sur qui me reposer, je ne parle à personne des mes problèmes, c'est trop difficile de vivre avec lui. Il m'épuise littéralement, et si moi je faisait quelque chose de fou parce que je n'en peux plus ? Si je vidais cette boite de lexomil ? j'y ai pensé oui, mais je ne le ferais pas, mes enfants ont besoin de moi.
J'appréhende, car il arrive à faire comme si devant les autres, il masque les choses, mais moi je sais qu'un jour ou l'autre il va exploser, car moi même n'étant pas dans sa situation, je suis comme une cocotte minute, aussi je ne vois pas combien de temps encore sa crise va durer et si il va réussir à remonter la pente.
C'en est trop, ce n'est pas la solution mais je ne lui parle plus depuis 5 jours, il a eu une opportunité de se rendre à l'étranger une dizaine de jours, et bien je suis pressée qu'il parte, je respirerais un peu :-/
bibine- Nouveau
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Date d'inscription : 22/11/2012
Re: j'ai peur de m'enfoncer avec lui, à l'aide.
je rajoute juste que les quelques fois ou il a levé la main, c'était plus pour m'intimider il ne m'a jamais fait mal.
bibine- Nouveau
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