je peux plus dire que ça va

oui

j'ai commencé ce soir.

Reste e prendre le temps, de rencontrer des gens bien - ou juste sympas.
ET sortir de ma tanière bien sur !

Pas que pour un soir.

laurent lyon a écrit:oui

j'ai commencé ce soir.

Reste e prendre le temps, de rencontrer des gens bien - ou juste sympas.
ET sortir de ma tanière bien sur !

Pas que pour un soir.

Tu connais la fameuse expression managériale : 20% de l'effort produisent 80% de l'effet, tu as fait le premier pas, celui qui coûte le plus, à présent la marche vers ta nouvelle vie est enclenchée

Super Laurent, continue à sortir, à veiller sur toi mais ne t'interdis pas une belle histoire à cause de ce que tu as vécu. Tu es comme chacun, tu mérites d'être heureux. je te souhaite vraiment de trouver le garçon idéal qui aura confiance en toi et en qui tu pourras avoir confiance, car ça, je pense que c'est hyper important

bon

les choses se passent un peu.

J'ai repensé à ma rencontre avec pas psychiatre ;
- à ma demande "j'ai mal, j'ai besoin de parler de machin.
Elle à eu une réponse franche et rentre dedans.
Et pas très à l"écoute de la douleur "le passé est passé, on ne peux rien y faire."
Et m'as donné une ordonnance - légère, mais je ne voulais pas ça.

J'ai le sentiment que les médocs qu'elles ma filés évitent de flipper - mais hélas aussi de parler.
Pourquoi pas.

Mais j'ai besoin de paroles pour aller mieux.
Je me suis remis en quête d'un analyste

EN fait quand je repense à ma psychiatre, je réalise que à chaque fois que j'ai essayé de lui parler de mon ex elle a esquivé.
Anti-dépresseurs, anxiolytiques, somnifères... bof - ça ne marche pas.

"c'est du passé"
"il faut faire autre chose"
"il est comme ça"

Oui, tout est vrai.
Mais ça ne m'aide pas - je suis assez intelligent pour me le dire à moi même.

Moi j'ai mal.
Et j'ai besoin que ça soit entendu.
Pas d'être assommé à coup de médocs.
Surtout que quand j'ai mal ça ne m'assomme pas. Ca ne me calme même pas.

laurent lyon a écrit:EN fait quand je repense à ma psychiatre, je réalise que à chaque fois que j'ai essayé de lui parler de mon ex elle a esquivé.
Anti-dépresseurs, anxiolytiques, somnifères... bof - ça ne marche pas.

"c'est du passé"
"il faut faire autre chose"
"il est comme ça"

Oui, tout est vrai.
Mais ça ne m'aide pas - je suis assez intelligent pour me le dire à moi même.

Moi j'ai mal.
Et j'ai besoin que ça soit entendu.
Pas d'être assommé à coup de médocs.
Surtout que quand j'ai mal ça ne m'assomme pas. Ca ne me calme même pas.

ton attente est légitime!!

tu disais plus haut t'ètre remis en quète d'un autre psy, as tu peux continuer dans cette démarche?

tu sembles savoir ce dont tu as besoin, ne baisse pas les bras

ton histoire est trés touchante. Je te souhaite bien du courage.

Elle a raison ta psy le passé c'est le passé on ne peut le changer, c'est vers l'avenir qu'il faut se tourner.

Mais je suis comme toi, on ne cesse de me répéter cela , seulement ça ne me suffit pas.

Si je pouvais effacer le passé mes troubles s'effaceraient aussi et ce n'est pas le cas.

Pourtant je sais pourquoi je suis comme ça maintenant, mais ça m'aide pas plus en fait.

Il parait qu'il faut penser à soi, vivre pour soi se retrouver.

Je ne sais pas si tu as cette impression aussi , mais quand on me dit ça je me dis "me retrouver?mais qui suis je ? comment me retrouver si je ne sais pas qui je suis"

Oui, j'ai rendez vous avec une analyste jeudi.

Je l'ai choisi sur le site de la SPP - c'est une école de pensée qui à très bien compris les 3 fonctionnements de base : névrotique, psychotique, borderline (ils appellent ça a-structuration) et les souffrances qui y sont liées.
Et surtout ils pensent qu'aucune structure n'est établie de façon définitive - on passe de l'une à l'autre en fonction des épreuves de la vie.
En plus ce sont des analystes qui travaillent avec l'empathie.

Mais bon c'est aussi une histoire de personne - je verrais bien si la dame me convient.

Je ne peux pas passer à autre chose tant que le douleur n'est pas entendue et reçue par quelqu'un.
ET ça réveil aussi ce que m'as fait ma mère.
Je ne peux pas effacer le passé, mais j'ai besoin de le mettre à distance, car pour le moment il est présent.
je vous tiendrait au courant